Eté meutrier. Et puis...
Reprise des activités neuro-électro-toxiques ce jour.
Poster. Sans timbre ni trompettes. Juste des textes, des idées.
Souvenirs épars, intenses, précis,
extraits d'un présent déjà si cruellement absent.
Je l'ai vu, le dragon; je me souviens de son parfum, effluves de tulipe bleue.
Dans une chapelle, un piano à queue, Raphael, chanson pour Patrick Dewaere.
Il m'a brûlé. Mes doigts pleuraient.
Flammes qui brûlent et me consument à l'intérieur, à jamais.
A jamais.
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