mercredi, avril 19, 2006

BYRON

Des Byron, je n’en connaissais qu’un il n’y a pas encore si longtemps.
Ce soir j’en connais trois. Enfin, je ne les connais pas, je sais simplement qu’ils sont, ou furent, ou aurait pu être. Celui que je connais le mieux, c’est celui qui n‘existe pas et dont la vie est emprisonnée dans les pages de la 'Voix du Maître' de Stanislaw Lem. Excellent personnage soit dit en passant.
Le second... il n’existait pas le mois dernier, il n’a jamais parlé – il faudra encore attendre un peu. Le troisième... je n’avais jamais lu ses poèmes, et je suppose que le second a hérité de son prénom, en hommage. Un peu lourd a porter.
Seul le second respire, sourit, aujourd’hui. Pourtant c’est le plus imaginaire des trois pour moi. La vie est ainsi faites que je n’aurai probablement jamais l’occasion de le rencontrer.

DARKNESS
first published in 1816 (Lord Byron)
I had a dream, which was not all a dream.
The bright sun was extinguish'd, and the stars
Did wander darkling in the eternal space,
Rayless, and pathless, and the icy earth
Swung blind and blackening in the moonless air;
Morn came and went--and came, and brought no day....

La suite ici pour les amateurs....

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